Les mauvaises langues parlent souvent sans savoir ; les jaloux font circuler des mauvaises raisons... Dans la vie économique d'aujourd'hui, quitter une entreprise ne rime pas systématiquement avec mal être ou burn out et chez Funbreizh, on en sait quelque chose.

 

 

Chloé, Charline, Mégane : des projets et beaucoup d'envies

 


L'une se lance dans une aventure de wedding planer freelance, l'autre file au Costa Rica et la dernière retourne à Quimper pour un nouveau projet... Entre les 3 projets, pas vraiment de rapport et pourtant : chacune avec ses compétences et/ou ses envies, se jette dans un autre bain, avec envie et détermination, prête à démontrer que tout est possible.


La faute à qui ? Commençons par elles, bien sûr. Elles osent, elles se lancent et ce courage, elles ne le doivent qu'à leur personnalité et leur projet de vie. Mais quand on y regarde de plus près, on ne peut pas s'empêcher de jeter un coup d'oeil dans le rétroviseur et de se dire que Funbreizh a  modestement participé à réveiller ces envies. D'une manière ou d'une autre, la valeur de l'expérience influe aujourd'hui à multiplier le champ des possibles.

 

 

Quand les expériences professionnelles donnent des ailes...

 


Valeur d'exemple, valeur d'envie, valeur des possibles. Les expériences professionnelles existent et sont là pour mettre en pratique et developper des compétences. Mais quand le job plaît, quand il devient formateur et qu'il permet de s'investir, il réveille les âmes d'aventuriers...


La première valeur chez Funbreizh est de dire que tout est possible et tout est réalisable. Dans notre entreprise, le client est mis au centre du projet et on n'imagine pas à quel point notre équipe regorge de bonnes idées pour lui apporter entière satisfaction. En croisant ces valeurs, au quotidien, nos âmes créatives oeuvrent et certaines d'entre elles éprouvent le besoin de se réaliser autrement. Ainsi va la vie professionnelle...

 

 

Libres et sans complexe

 


Dans une étude menée par Monster Yougov pour le magazine Challenge, 45% des CDI des 15-24 ans sont rompus avant 1 an, soit près de 10 points de plus que toutes classes d'âges confondues. La même étude affirme que 47% de cette même tranche d'âge veulent créer leur propre start-up.


Pour Frédérique Bouvier, directrice du développement des compétences d'Axa France, "les jeunes sont moins dans le devoir que dans la réalisation d'eux-mêmes. Le tout sans renoncer au sacro-saint équilibre vie privée-vie professionnelle."


Ainsi donc va la vie des entreprises qui embauchent de jeunes professionnels. Avec 18 collaborateurs et une moyenne d'âge à 32 ans, Funbreizh n'échappe pas à la règle. Nous multiplions les belles rencontres, nous offrons une aventure étonnante à nos collègues et c'est souvent la mort dans l'âme que nous les laissons partir.


Merci les filles pour votre travail, pour les compétences que vous avez apportées et celles que vous avez su développer en notre compagnie. Bonne chance pour la suite et revenez de temps en temps : la maison va changer mais le fond n'est pas prêt de bouger !